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précèdement, Alyson est partie pour aller vivre une meilleur vie...

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Nous étions sur une route et je remarquai qu’il n’y avait aucune autre voiture que la nôtre, le chemin semblait désert, mon frère était endormi,  ma sœur lisait la pile de magazine qu’elle avait emporté, et moi j’hésitais entre prendre une sieste et louper le moment où nous arriverons ou entre piquer un magazine et me faire sermonner par ma grande sœur, je pris la première option et m’endormis aussitôt. Je me sentais apaiser et bercer, j’avais l’impression d’être dans de l’eau, dans un nuage. Cela faisais depuis si longtemps que je n’avais pas dormis aussi bien et le meilleur c’est que je rêvais d’un garçon beau comme un dieu, bon c’est une façon de parler j’aurais aussi pu vous dire qu’il était canon, ce qui est le cas, il a les cheveux noir, les yeux d’un bleu vif, des muscle, bien sûr, en fait c’est de mon idéal masculin dont je rêvais. Lorsque je me suis réveiller personne n’était dans la voiture, quelqu’un avait laissé une lettre avec écrit dessus : tu dormais si bien que nous ne voulions pas te réveiller, nous sommes à l’intérieur.

Je sortis de la voiture balayant du regard la porte d’entrée puis tourna la poignée, la porte grinça. Vu la maison de dehors elle a l’air plutôt en mauvais état mais l’intérieure de la maison dépassait tous ce que j’aurais pu imaginer, a ce qui parait la maison n’a pas été habitée depuis plus de 2 ans, et là elle était toute propre, aucune trace de poussière je suppose que cette rumeur était fausse et en plus, qui ne voudrait pas habiter ici ? Ma sœur et mon frère avait déjà choisi leur chambre, à l’étage se trouve exactement 6 chambres, une pour moi, un pour ma sœur, une pour mon frère, une pour mon père, et une pour ma mère. Mon père et ma mère ce sont divorcé il y a une semaine, mon père viendra tous les week-ends nous visité. Ce soir nous dormirons à l’hôtel, je me demande comment ils ont réussit à obtenir autant d’argent. Quelqu’un sonna à la porte et interrompit mes pensées, j’allai ouvrir et je trouvais devant moi une femme d’un peut près 42 ans comme ma mère vêtue d’une robe rose bonbons et de boucles d’oreilles assortie.

-          Bonjour, Mme. Price dit-elle tout en me serrant la main, mais appelez-moi Mélanie.

-          Alyson Hudson. Dis-je du même enthousiasme.

Puis elle me fit le plus grand sourire l’air très surprise.

-          Oh mais on se connaît déjà tu étais en primaire avec mon fils, James et tu venais chaque gouté chez nous !

Je mis du temps à m’en souvenir jusqu’à ce qu’elle me montre une photo de lui et moi en maternelle en train de lui faire un bisou sur la joue et je sentis mes joue rougir énormément.

-          Comme vous étiez chou, tu savais qu’il gardait toujours cette photo ? Moi aussi je la garde avec moi c’est comme un porte bonheur.

Je sentais mes joues rougir de plus en plus je crois que j’allais exploser. Puis ma mère arriva en me demandant qui c’était en voyant Mélanie elle sauta dans ces bras, comme… comme des meilleurs amies qui se sont séparée.  Elle m’indiqua où ce trouvais mon ami d’enfance. [ a suivre...]